Le biodécodage
Le biodécodage : qu'est-ce que c'est ?
Le concept de bio décodage fait appel à plusieurs sciences, méthodes, techniques ou philosophies. C’est le résultat de vastes analyses et de synthèses des travaux
de Marc Frechet, Claude Sabbah, Ryke Geerd Hamer et Gérard Athias.
Je cite ici Claude Sabbah, qui a su trouver les mots pour introduire le bio décodage:
« Les maladies au sens médical sont ressenties comme quelque chose qui vient
de l’extérieur ; d’ailleurs on dit : « j’ai attrapé la grippe, le rhume, etc. »
Il faut faire une distinction entre ce qui est apparemment vrai et le jugement
que l’on porte, car la réalité est plus subtile, elle peut même parfois se révéler être l’inverse de ce que l’on croyait vrai. Tout est ambivalent. Cela veut dire que tout
est en même temps une chose et son contraire, c’est une loi universelle.
Ils ont étudié depuis des décennies de nombreux auteurs et les données
de médecine traditionnelle occidentale et orientale.
On comprend alors qu’il est possible qu’une maladie chez n’importe quel être vivant soit l’expression d’un conflit biologique. C’est une loi. »
Le mot conflit peut-être mal choisi on pourrait le remplacer par « manifesté »
ou « message », comme le rapporte Gérard Athias.
La maladie est la réponse à un message.
« Il y a des messages transgénérationnels que j’ai inconsciemment reçus
et qui me conduiront vers un métier. Ma façon de m’habiller, mes comportements, même mon humour sont une manière de me manifester. Lorsque quelques fois
je m’énerve, c’est mon manifesté, il y a des gens qui vont apprécier et d’autres non. Peu m’importe, je me manifeste de cette manière.
Qu’est-ce qui a forgé mon caractère ? C’est l’histoire de ma vie qui l’a forgé.
Par exemple : un enfant qui perd ses parents devient orphelin, il est obligé
de se forger un caractère en réponse à cet état. Il n’est pas obligé d’être malade
en étant orphelin. Il va y avoir des personnes qui, par exemple, seront bloquées dans leur côté émotionnel ou bien au contraire, submergées par les émotions chaque fois qu’elles voient un film triste.
Les conflits vont apparaître d’une manière ou d’une autre. Nous allons
non seulement travailler les maladies mais aussi ces conflits. Plutôt que de dire
que c’est un conflit, on peut dire que c’est un message, la maladie répond
à un message. » Gérard Athias

Qu'est-ce qu'un
conflit biologique ?
Un conflit biologique est un conflit traduit
dans la biologie qui s’est intégré aux structures
de l’organisme et s’exprime sur le plan biologique, et non sur d’autres plans (psychologique).
« D’un côté je voudrais, et de l’autre côté je vais être réticent donc je vais être en conflit, un conflit ce n’est ni plus ni moins que ça. Ce n’est pas obligatoirement avec les autres. Je peux être
en conflit avec moi-même. Je dirais que c’est
un manque de cohérence entre soi et soi.
La définition d’un conflit est liée à la cohérence. C’est une opposition d’éléments, de points d’intérêt, de sentiments... Pour être en cohérence, il faut que dans ma tête ce soit oui ou non sinon c’est un conflit. Quel à été le manifesté (plus exactement l’histoire familiale) qui m’a amené
à vivre ça ? »
Gérard Athias, « Biologie et le sens de la «mal
a dit». », ed. Pictorius.
Le biodécodage :
pour qui, pour quoi ?
Nous sommes nombreux à avoir des conflits,
à vouloir nous comprendre et apprendre sur nous. Le décodage biologique est alors un outil précieux pour trouver des réponses (en complément
d’un suivit médical essentiel).
Exemple de maladies pouvant être abordées
avec le décodage biologique :
• Maladies de peau, eczéma, psoriasis, vitiligo,
acné, etc.
• Diabète, cholestérol
• Cancers
• Addictions
• Phobies
• Maladies auto-immunes
• Crises d’angoisses, anxiété généralisée
• Obésité, TCA
• Migraines, céphalées, névralgie d’Arnold etc.
• Infections urinaires
• Mycoses
• Myopie, hypermétropie etc.
• Hémorroïdes
• Dépression
(Liste non exhaustive)
Qu'est-ce qu'une
mal-a-dit ?
Tout ce qu’on va vivre est en rapport avec
un contexte familial, social et culturel. Une maladie est à mettre dans un contexte : un cancer du sein
ne veut rien dire. Il n’est pas possible que l’on puisse être soignés tous de la même manière. Le contexte est donc capital et, dans ces conditions, l’intelligence et la créativité vont devenir
une question de survie. Tout ce qu’on va vivre,
c’est pour survivre, on croit tous que l’on vit pour
vivre , mais chose bizarre au départ, biologiquement,
on vit pour survivre.
La maladie est l’expression d’un conflit,
d’un stress, dans un espace biologique. Il est actif
à un moment donné dans le réseau. En revanche
si j’ai résolu mon conflit il va y avoir des mécanismes physiologiques de réparation et le retour à l’idée normal dans un certain temps, la traduction
d’une maladie ou d’un manifesté chez un être vivant est toujours l’expression d’un conflit, et c’est
la réponse parfaite du cerveau.
Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme en conflit psychologique suraigu permanent incompatible avec la vie, prend traduction biologique avec la création d’une maladie et libère le reste
du corps psychologique et biologique.
Et cela va être vrai pour toutes les maladies.
La maladie est l’expression d’un conflit, d’un stress, dans un espèce biologique. Ce n’est donc
pas psychosomatique. Il faut bien comprendre
la nuance : la maladie est l’intégration
dans la cellule de la réponse du cerveau.
Un confinement solutionné par le psychisme.
Comment fait-on
une prise de conscience ?
Pour qu’il y est prise de conscience, il suffit d’allumer la lumière là où il fait noir. Une fois qu’elle est allumée, on peut se repérer et avancer. Plonger vers la lumière.
On peut débloquer un conflit par la mise en lumière, par la mise en conscience. Cependant certains conflits restent présents. Et j’aime
à penser que s’ils restent c’est qu’ils ont leur place.
Pour en savoir plus : « Biologie et le sens
de la «mal a dit». » de Gérard Athias, ed. Pictorius.

« La majeure partie de nos actions et de nos réactions sont gouvernées par des pensées dont nous n’avons même pas conscience. »
Anne Ancelin Schützenberger